Pataphysique des corps
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Urgences
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Point Break
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Collapsus
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Paroles
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L'Étranger
Né en 1913 dans un quartier populaire d'Alger, Albert grandit avec ses deux frères et sa mère analphabète à qui il voue une grande admiration. À l'école communale, son instituteur Louis Germain détecte son talent pour les lettres et le pousse à poursuivre ses études.
En 1940, Camus s’installe à Paris. Dans la trilogie du "cycle de l'absurde" il développe sa philosophie : l'Homme ne trouve pas de cohérence dans la marche du monde et n'a d'autre issue que la révolte. En 1943, il s’engage dans la Résistance et prend la direction du journal clandestin Combat.
Cette prise de position est sans doute ce qui fera dire à de nombreux Agériens qu'il n'est pas un écrivain algérien, mais un écrivain français d'Algérie. D'ailleurs, beaucoup de journaux algériens sont totalement silencieux sur le cinquantième anniversaire de sa mort. Pas un mot dans El Moujahid, le quotidien gouvernemental. Rien non plus dans Le Quotidien d'Oran, premier quotidien francophone du pays. Liberté, quotidien près du mouvement kabyle organisé politiquement dans le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), se contente d'annoncer les émissions qui seront consacrées à Albert Camus cette semaine... dans les médias français. El Watan ("Le pays") est le seul à lui consacrer un véritable dossier, avec des opinions contrastées.
En 1957, il reçoit le prix Nobel de littérature pour l'ensemble de son œuvre "qui met en lumière les problèmes qui se posent [...] à la conscience des Hommes". Lors de la remise de son prix, il rend un hommage appuyé à son instituteur et devient le symbole du succès de l’école républicaine. Les honneurs le confirment, on en a quand même fait un membre de la République!
D'un côté, les Algériens pour qui l'écrivain ne s'est jamais débarrassé de ses réflexes bien enracinés dans son inconscient colonial. De l'autre, les Français pour qui il est encore "pied noir"... Ça a beau parler à la radio, écrire dans les journaux, moi j'entends surtout "le malaise dans la colonisation"**.
Je sais, c'est très québécois diront certains...
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Champagne!
Le tout remonte à Saint-Rémi, évêque de Reims dans la région de Champagne, qui baptisa Clovis quand ce dernier se convertit pour être reconnu par le Saint-Siège et consacré roi de France. Revenant à ce moment fondateur, de 898 à 1825, tous les rois français seront sacrés à Reims. Selon les récits qui en furent faits, les cérémonies s’accompagnèrent de festins où le Champagne coulait à flots. Complices de cette tradition, les vins de Champagne furent donc consacrés un soir de Noël 496 et ils sont restés associés aux baptêmes : ce sont eux que l’on invite à consacrer le bonheur des premières fois.
Les exemples marquant de cette tradition ne manquent pas... Le 14 juillet 1790, pour la fête de la Fédération sur le Champ de Mars, seul le Champagne est jugé digne d’encourager les révolutionnaires. Il a été de l'inauguration des grandes expositions universelles de 1889 et de 1900 à Bruxelles et Paris. Le Champagne a consacré de nombreux grands traités dont celui de Maastricht, il a baptisé bien des navires et des avions...
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Kaput 2009
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2009 c'est trop Oufff! (cinéma)
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Fumisterie
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Les Cent Ciels
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Féérie
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Mon beau sapin...
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Préparatifs de Noël
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M'as-tu vu?
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2009 c'est trop Oufff! (musique)
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Jardin de givre
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De grands enfants
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Salées les vacances!
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