Blame it on the rhume

Acceptez mes plates excuses pour avoir laissé fermée la fenêtre que j'ai moi-même ouverte. Primo, j'avais l'intention de jouir tranquillement du réel de mes vacances et j'ai préféré écrire mes élucubrations virtuelles à posteriori. Deuxio, j'ai été affligé par ce virus de saison, cette pandémie météorologico-biologique, ce possible A H1N1 dont personne ne sait rien, mais dont tout le monde parle...

Je vous offre donc mon aparté de portuguais en différé en espérant que l'ellipse ne vous désoriente que ce qu'il faut pour me rejoindre.

0 commentaires: